Les grandes tendances formation à suivre en 2024

Les grandes tendances formation à suivre en 2024

Les grandes tendances formation à suivre en 2024

Qui dit nouvelle année, dit nouvelles tendances et de ce côté-là, le secteur de la formation professionnelle n’est pas en reste. Alors, à quoi ressemblera le

Lire l’article complet sur : formation.lefebvre-dalloz.fr

 

Voici un aperçu des nouveaux dispositifs de formation pour l’année 2023. Selon un article de Lefebvre Dalloz Compétences, un projet de loi Plein emploi sera discuté à l’Assemblée nationale à partir du 25 septembre 2023. Bien que ce texte ne concerne pas directement la formation professionnelle, il a un effet indirect car il s’agit d’un projet de loi systémique qui rebat les cartes du service public de l’emploi et donc des financements de la formaiton pour les demandeurs d’emploi.
En 2024, les parlementaires devraient examiner un nouveau projet de loi Travail principalement tourné sur l’emploi des seniors. Ce projet de texte devrait contenir un certain nombre de dispositions en matière de formation professionnelle. Plusieurs thèmes pourraient y figurer notamment la révision des dispositifs d’accès à la formation des salariés qui souhaitent bénéficier d’une mobilité professionnelle tant interne qu’externe. Avec l’objectif de parvenir à des dispositifs plus lisibles, financièrement solvables et favorisant davantage les logiques de reconversion professionnelle, que ce soient pour les demandeurs d’emploi ou les salariés en poste dans leur entreprise.

En outre, un article de Cegos mentionne que les nouveaux dispositifs de formation comprennent des parcours et actions de formation formels (présentiels), des formations réalisées en tout ou partie à distance (blended, 100% à distance), et des actions de formation en situation de travail (AFEST). Le FNE formation est également reconduit en 2023 et bénéficie même d’une rallonge de 300 millions d’euros. Ce dispositif s’est révélé efficace pour maintenir dans l’emploi des salariés dans des entreprises en difficultés et fragilisées par les mutations économiques et technologiques.

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Certifications vs Formations

Certification n'est pas formation

Certifications vs Formations   Les organismes de formation et les organismes certificateurs ont des objectifs différents. Les organismes de formation dispensent des formations pour acquérir des connaissances, des compétences ou des qualifications dans un domaine donné. Les organismes certificateurs, quant à eux, délivrent des certifications professionnelles qui attestent de la maîtrise d’un métier, d’une activité ou d’un ensemble de compétences, à l’issue d’une évaluation. Si vous souhaitez proposer des formations qualifiantes qui ne débouchent pas sur une certification, vous pouvez vous inscrire en tant qu’organisme de formation. Si vous souhaitez proposer des formations diplômantes qui permettent d’obtenir un diplôme d’Etat reconnu sur le plan national et international, vous pouvez également vous inscrire en tant qu’organisme de formation. Si vous souhaitez proposer des formations certifiantes qui donnent lieu à la délivrance d’une certification professionnelle, comme un titre RNCP, un CQP ou un certificat de compétences, vous devez vous inscrire en tant qu’organisme certificateur. Les organismes certificateurs sont enregistrés dans des répertoires officiels et attestent de l’adaptation de la formation aux réalités professionnelles et au marché du travail.
Formation AMMC

Quel est le rôle d'un certificateur ?

Un organisme certificateur est une entité qui se charge de délivrer des certifications professionnelles à des individus ou des organisations. Ses tâches et responsabilités sont :

– Définir le contenu, les critères et les modalités d’évaluation des certifications qu’il propose, en fonction des besoins du marché du travail et des référentiels nationaux.
– Mettre en œuvre les processus d’évaluation des candidats ou des prestataires, en respectant les principes d’impartialité, de fiabilité, de validité et de transparence.
– Délivrer les certificats aux candidats ou aux prestataires qui ont satisfait aux exigences de la certification, en assurant leur traçabilité et leur communication au système d’information du compte personnel de formation.
– Assurer le suivi et le contrôle de la qualité des certifications qu’il délivre, en tenant compte des évolutions réglementaires, techniques et professionnelles.
– Respecter les conditions d’honorabilité professionnelle et les obligations légales liées à son activité de certification.

AMMC qui pratique les 2 métiers vous conseille dans ces démarches. Consultez-nous sur le métier de certificateur. Suivez le blog de la formation.

Le point sur le changement et la résistance

Changement et résistance au changement

Le changement en entreprise peut être défini comme une modification qui s’opère au sein d’une organisation.

Il peut prendre plusieurs formes, telles que le changement organisationnel, le changement technologique et le changement de personnel. Le changement peut être initié pour diverses raisons, telles que l’évolution des pratiques et des besoins du marché, la nécessité de repenser les activités de l’entreprise, la modernisation de l’outil de production, la digitalisation des services, etc.

La conduite du changement est une démarche qui accompagne la vie de toute entreprise face à l’instabilité et au développement de son environnement. Elle vise à accompagner les transformations de l’entreprise de manière optimale.

La conduite du changement consiste à accompagner un projet de réorganisation de l’entreprise selon une méthodologie spécifique. Elle peut par exemple accompagner la réorientation d’une partie de l’activité, l’évolution des compétences de l’entreprise, la modernisation de l’outil de production, la digitalisation des services. De nombreuses théories permettent aujourd’hui de comprendre le changement et d’aborder la conduite du changement de manière efficace.

Conduite du changement AMMC

La résistance au changement est un phénomène courant en entreprise. 

Elle peut prendre plusieurs formes, allant de la simple appréhension à l’opposition ouverte. Les raisons de cette résistance peuvent être multiples : peur de l’inconnu, peur de perdre son travail ou ses avantages, perte de contrôle, manque de confiance envers la direction ou l’équipe du projet.

Pour surmonter cette résistance, il est important de comprendre les facteurs qui la sous-tendent. Les facteurs individuels incluent les croyances, les valeurs et les attitudes des employés. Les facteurs collectifs et organisationnels incluent la culture d’entreprise, les politiques et les procédures, ainsi que la communication et la participation des employés.

Les facteurs liés aux agents du changement sont également importants. Les agents du changement sont les personnes qui conduisent le changement dans l’organisation. Ils doivent être capables de communiquer efficacement avec les employés et de les impliquer dans le processus de changement.

Il existe plusieurs étapes dans le processus de résistance au changement.

  • Tout d’abord, il y a la phase de déni, où les employés nient que le changement est nécessaire ou possible.
  • Ensuite, il y a la phase de résistance, où les employés s’opposent activement au changement.
  • Enfin, il y a la phase d’acceptation, où les employés acceptent le changement et commencent à travailler avec lui.

Pour surmonter la résistance au changement, il est important d’adopter une approche proactive. Cela peut inclure des stratégies telles que la communication claire et régulière avec les employés, l’implication des employés dans le processus de changement et la formation des employés pour leur donner les compétences nécessaires pour réussir dans le nouvel environnement.

La résistance au changement est un phénomène que nous avons très souvent rencontré dans les entreprises que nous avons accompagnées. Les organismes de formation ont du mal à sortir de leur zone de confort, bien que l’environnement règlementaire et économique soit défavorable depuis 2018. Ils doivent absolument se bouger pour survivre. Que faire pour surmonter ces résistances ? Peut-être, déjà comprendre  les facteurs qui la sous-tendent et d’adopter une approche proactive pour impliquer les employés dans le processus de changement.

 

pour changer, mieux vaut être accompagné ! AMMC est un acteur du changement surtout pour les organismes de formation.

AMMC : L’image du jour

La dernière image !

L’opéra « Moïse et Aaron » d’Arnold Schönberg est moins fréquemment joué que certaines œuvres plus accessibles du répertoire opératique. Cela est dû en partie à sa complexité musicale et à son caractère atonal, ce qui peut rendre l’œuvre moins populaire auprès du grand public. Cependant, elle continue d’être interprétée dans le cadre de productions et de festivals d’opéra contemporains, en particulier dans des environnements artistiques et expérimentaux qui valorisent l’exploration de la musique contemporaine.

L’œuvre de Schönberg est souvent considérée comme une pièce majeure du répertoire musical du 20e siècle, ce qui signifie qu’elle conserve une place importante dans l’histoire de la musique. Elle est régulièrement étudiée et analysée dans le cadre de la musicologie et de l’histoire de la musique, et il existe des enregistrements audio de performances passées qui permettent aux auditeurs de découvrir ou redécouvrir cette œuvre. Bien qu’elle ne soit pas aussi courante que d’autres opéras classiques, « Moïse et Aaron » demeure une création musicale influente et continue d’attirer l’attention des amateurs de musique contemporaine et expérimentale.

Moïse et Aaron opéra de Schönberg