TOUT SAVOIR SUR L’ADMINISTRATEUR DES INFRASTRUCTURES SÉCURISÉES

Quel est son rôle ?

L’administrateur d’infrastructures sécurisées gère et administre les infrastructures informatiques d’une entreprise.  

L’administrateur d’infrastructures sécurisées propose et met en œuvre des solutions en évaluant les infrastructures tout en respectant la politique de sécurité de l’entreprise. 

Quelles sont ses missions ?

L’administrateur d’Infrastructure sécurisées (AIS) étudie les solutions techniques et contribue à la gestion des risques de l’entreprise. 
Il installe, paramètre (les serveurs, réseaux, hyperviseurs) sécurise le parc informatique. 
Il met en œuvre et administre les moyens techniques permettant aux utilisateurs d’accéder aux données et aux applications pouvant être hébergées sur différentes infrastructures et il doit s’assurer de la sécurité des accès et de la protection de l’ensemble des données. 
Il exerce ses missions dans le respect des méthodes, des normes et standards du marché, des règles de sécurité, et des contrats de service. 

Quelles sont les compétences requises ?

Intégrer, administrer et sécuriser une infrastructure distribuée

Intégrer, administrer et sécuriser une infrastructure distribuée

Administrer et sécuriser les composants constituant l’infrastructure

pexels-paras-katwal-6018290 (1)

Quels sont les objectifs ?

LIRE LA SUITE…

Adieu les DIRECCTE bonjour les DREETS

A partir du 1 avril 2021, les DIRECCTE (directions régionales des entreprises, de la concurrence,
de la consommation, du travail et de l’emploi) et les services déconcentrés chargés de la cohésion sociale vont fusionnés et devenir les DREETS (directions régionales de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités).

Le Gouvernement a souhaité cette fusion dans le cadre de la réforme de l’organisation territoriale
de l’Etat.
Le Premier ministre a ainsi décidé de transformer en profondeur aux niveaux régional et
départemental le service public de l’insertion, avec la volonté de regrouper les compétences
contribuant à cet objectif sans discontinuité de l’accompagnement de personnes en difficultés
jusqu’à l’insertion par l’activité économique et l’emploi.
La rationalisation de ces services déconcentrées doit permettre à l’Etat territorial d’assurer un
dialogue plus simple et efficace avec les acteurs du service public de l’emploi et de l’insertion que
sont les collectivités territoriales, les opérateurs ou les organismes de sécurité sociale.

 

 

 

LIRE LA SUITE…

Aides d’État: la Commission prolonge et élargit encore l’encadrement des entreprises

Vous avez dit : Aides de l’état prolongés…

La Commission européenne a décidé de prolonger jusqu’au 31 décembre 2021 l’encadrement temporaire des aides d’État adopté le 19 mars 2020 pour soutenir l’économie face à la flambée de COVID-19. La Commission a également décidé d’élargir le champ d’application de l’encadrement temporaire en relevant les plafonds qui y sont fixés et en permettant la conversion de certains instruments remboursables en subventions directes jusqu’à la fin de l’année prochaine.

covid 19 aides de l'état

Margrethe Vestager, vice-présidente exécutive chargée de la politique de concurrence, a déclaré ce qui suit: «Étant donné que la pandémie de COVID-19 se prolonge au-delà de nos attentes, nous devons continuer à veiller à ce que les États membres puissent apporter aux entreprises le soutien dont elles ont besoin pour s’en sortir. Aujourd’hui, nous avons prolongé l’application de l’encadrement temporaire jusqu’à la fin de l’année. Nous avons également relevé les plafonds de certaines mesures fixés dans l’encadrement temporaire et veillé à encourager l’utilisation d’instruments remboursables, en permettant la conversion de certains prêts et autres instruments remboursables en subventions directes à un stade ultérieur. Nous permettons ainsi aux États membres de tirer pleinement parti de la flexibilité offerte par les règles en matière d’aides d’État pour soutenir leur économie, tout en limitant les distorsions de concurrence.»

Prolongation de l’encadrement temporaire

La Commission examine en permanence la nécessité d’adapter davantage l’encadrement temporaire. Celui-ci devait expirer le 30 juin 2021, à l’exception des mesures de recapitalisation qui pouvaient être accordées jusqu’au 30 septembre 2021. Compte tenu de la persistance et de l’évolution de la pandémie de COVID-19, la modification apportée aujourd’hui prolonge jusqu’au 31 décembre 2021 toutes les mesures énoncées dans l’encadrement temporaire, y compris les mesures de recapitalisation.

Relèvement des plafonds d’aide

LIRE LA SUITE…

Le CFA d’entreprise : qui a osé franchir le pas ?

Depuis la loi « Avenir Professionnel », une trentaine de Centres de formation d’apprentis (CFA) d’entreprises ont été créés, et 25 autres seraient déjà en projet. Qui sont ces pionniers ? Quels sont leurs objectifs pédagogiques ? Comment financent-ils l’opération, dans un contexte où le gouvernement parle de réduire les financements de l’apprentissage ? Après avoir évoqué dans une première partie les conditions de création d’un CFA d’entreprise, nous faisons un tour d’horizon des réalisations.

CFA d'entreprise

Le CFA d’entreprise : une affaire de grands

En théorie, il était déjà possible de créer son propre CFA. En pratique, c’était difficile : il fallait obtenir l’accord de la Région d’implantation du CFA – qui de ce fait, se trouvait limité au territoire de celle-ci. La loi Avenir Professionnel du 5 septembre 2018 a considérablement simplifié la procédure. Les entreprises peuvent se contenter, désormais, de déclarer la création de leur CFA, à condition de respecter les règles de l’apprentissage. Pour autant, la question du coût demeure. Sur le terrain, il semble que les grands groupes soient, à ce jour, les seuls à avoir franchi le pas.

Lors de l’inauguration du CFA d’Orange, le 16 octobre dernier, la ministre Elisabeth Borne a parlé d’une trentaine de CFA d’entreprises déjà créés. La dynamique a été ralentie par la crise épidémique, selon la FIPA, qui précise que 25 autres projets seraient déjà dans les tuyaux.

Sur la vingtaine d’entreprises dotées d’un CFA déjà évoqués dans la presse, les plus petites sont Nicollin (7 000 salariés) et Socotec (8 000 salariés). Les autres comptent souvent plusieurs dizaines, voire centaines de milliers de collaborateurs. Bien sûr, il se peut que des projets d’entreprises plus petites n’aient pas été médiatisés, mais il semble bien que le CFA d’entreprise soit plutôt une initiative de grands groupes.

Le financement de l’apprentissage et des CFA d’entreprise en danger ?

En cause, bien sûr, le coût important d’une telle opération. Il faut pouvoir assurer l’investissement initial et atteindre la taille critique, en nombre d’apprentis, nécessaire pour rentabiliser un CFA d’entreprise. Et l’équation risque de s’avérer encore plus difficile à l’avenir. Selon Les Echos, le gouvernement s’apprêterait à imposer une baisse globale du coût au contrat, pour financer le déficit de France Compétences, creusé par les aides importantes à l’alternance consenties cette année. Il s’agit au départ d’une recommandation du rapport conjoint de l’Igas et de l’IGF rendu public en septembre et analysé sur ce blog.

>>En savoir plus sur les aides à l’alternance en 2020-2021

La principale option envisagée serait une baisse de 6% à 12% imposée aux contrats signés à partir de juillet 2021. Une alternative serait une baisse de 3% par an pendant 4 ans. La décision devrait être prise au prochain conseil d’administration de France Compétences, le 17 décembre prochain. Elle pourrait pénaliser plus particulièrement les formations de haut niveau, plus coûteuses. Or de nombreux CFA d’entreprises proposent ce type d’offre. Une raison supplémentaire de réserver la démarche aux grands groupes.

Financer l’aventure…

LIRE LA SUITE